En collaboration avec Sandra Bisson, Présidente de l’association et devenue depuis dirigeante de l’agence Sandra Bisson Agency, nous avons mis en oeuvre une très jolie campagne digitale avec la Miss Guadeloupe 2020 Kenza Andrèze Louison. Et, c’est donc à Pointe-à-Pitre que chausser de quelques paires de nos plus beaux modèles qu’ont eu lieu les shootings menés de main de maitre par le photographe Guillaume Aricique plus connu sous le pseudo de Happy Man photography.
Ainsi, très touché par l’initiative le nouveau maire de la ville, Maître Harry Durimel dont le combat pour faire reconnaitre condamner les responsables de la pollution de nos terres par la chlordécone et obtenir réparation pour les victimes, est venu nous rendre visite sur le spot du Pavillon de la Ville. Classé monument historique, l’immeuble construit en 1845, était le presbytère attaché à la Cathédrale St Pierre et Paul. Point de départ de notre mini road urbain qui va déambuler jusqu’au Macte pour se poser à la Marina. Plusieurs de ces clichés ont rejoint la banque d’image de la cellule Internationale du Comité des îles de Guadeloupe.
Kenza, qui en était à ses débuts a joué le jeu tout en se préparant très sérieusement pour l’Election de Miss France en décembre dernier. 8ème du concours, elle décroche le prix du défilé. Excellent! Elle n’a pas démérité s’inscrivant ainsi, dans la longue lignée de nos reines de beauté guadeloupéenne.
Une allure irréprochable, un sourire éclatant, des pas fluides bien rythmés, un discours profond; certainement un peu trop pour la période de crise sanitaire où l’on attendait cette année en particulier, de ces jeunes personnes, un souffle d’air, plus de légèreté d’être…
Mais revenons, oui! Pointe-à-Pitre, cette enclave humaine entre ciel et terre, où est née et a grandi la fondatrice de la marque. « Jai pu , déclare-telle, profiter de toutes les infrastructures et services municipaux pour apprendre, m’épanouir, pratiquer assidument des sports tel que le tennis et, me gaver de culture et de livres ». Corinne a pour cette ville un amour indéfectible qu’elle sait faire partager lors de récits sur ses cicatrices d’enfants aux genoux. Elle sait parfaitement où, quand avec qui cela était arrivé ponctuant l’histoire d’éclats de rires et de soupirs d’un temps qui a passé et qu’elle ne regrette pas, profitant pleinement du temps présent pour aller vers l’avenir. Une liberté qu’elle exprimait déjà en poésie rédigée sous l’œil protecteur d’un Camille Mortenol…
A La Pwent, elle y séjourne souvent dans la maison familiale située à deux pas de la Place Victoire.
Femme engagée à sa façon comme elle dit, Corinne, porte sa pierre à l’édifice et accompagne les changements. Surtout ceux qui participent à faire évoluer l’image de son île. (Kaloucéra-Guadeloupe). Le clip d’Erik Pédurand, tourné par Yvan Cimadure-Mery, un de nos artistes photographes des plus pointus, mettant en valeur un des quartiers sensibles de Pointe-à-Pitre en dit long sur l’ambition commune de ses enfants de voir le et de montrer toute la beauté cachée par les faits divers relatés dans la presse nationale française. Corinne affirme, que le premier acte d’estime de soi c’est de ne pas avoir honte de là d’où l’on vient. Souvent on y acquière les outils pour se construire et être un élément utile à la Communauté.
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